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« […] Jane évoque la relation entre l’actrice et le spectateur. Parti d’analogies entre la prostitution et le théâtre, comme celle de payer pour voir quelqu’un feindre pour le plaisir d’un « client », Jeanne Dandoy a conçu ce spectacle où elle raconte une histoire choisie pour le spectateur et pour lui seul, entre confessionnal et peep-show. »

Jeannine Dath, Le Soir, 05.04.2002

« Jane est un personnage et un spectacle inventés par Jeanne Dandoy. Vingt-sept ans, une frange brune faussement sage, Jeanne Dandoy a choisi pour sa première création personnelle cette performance limite. […] (Elle) a choisi la provocation du peep-show pour travailler sur l’image de la femme, sur le masochisme ambigu de ses sœurs, sur la force de leur rapport aux figures paternelles. […] Enfance et violence, innocence et perversité : Jeanne-Jane chemine à travers les territoires du trouble. »

Catherine Bédarida, Le Monde, 12.07.2002

« Jane” a été joué à La Manufacture/Avignon, Tournée Générale, le Théâtre Varia/Bruxelles, Festival Emulation/Liège, Le Groupov, Les Brasseurs (Liège). »

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« Jane est un personnage et un spectacle inventés par Jeanne Dandoy. Vingt-sept ans, une frange brune faussement sage, Jeanne Dandoy a choisi pour sa première création personnelle cette performance limite. […] (Elle) a choisi la provocation du peep-show pour travailler sur l’image de la femme, sur le masochisme ambigu de ses sœurs, sur la force de leur rapport aux figures paternelles. […] Enfance et violence, innocence et perversité : Jeanne-Jane chemine à travers les territoires du trouble. »

Catherine Bédarida, Le Monde, 12.07.2002